Ou comment déconstruire les grands mythes autour des inégalités hommes-femmes

Parce que la lutte pour les droits des femmes et l’égalité des genres continue après le 8 mars, les CEMÉA présentent le second volet du « Guide de survie en milieu sexiste » qui s’adresse à toutes les personnes qui se sentent concernées, de près ou de loin, par les questions de l’égalité.

Aboutissement d’un travail participatif et militant du groupe « Pour une éducation à l’égalité des genres » des CEMÉA, le « Guide de survie en milieu sexiste » est une publication qui vise à déconstruire les grands mythes utilisés pour légitimer les inégalités entre les femmes et les hommes, dans notre société :
• De toutes façons, c’est comme ça depuis la préhistoire...
• Les femmes et les hommes n’ont pas le même cerveau !
• C’est la faute aux hormones !
• L’instinct maternel, c’est merveilleux !

Le guide propose d’autres niveaux de lecture, des éléments de contextualisation, des sources et références variées, une bibliographie conséquente, des réflexions sous forme de questions-réponses... afin d’ouvrir de nouvelles perspectives de libre arbitre !
Il est destiné à tou-te-s les acteurs et actrices de l’éducation (parents, enseignant-e-s, animateurs-animatrices, éducatrices-éducateurs, responsables d’établissement, travailleurs-travailleuses du secteur de la jeunesse ou de la culture…) en réflexion par rapport à l’égalité entre hommes et femmes.

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« Les femmes et les hommes n’ont pas les mêmes muscles, ni la même morphologie et ne peuvent donc pas faire les mêmes choses ! »

Si vous êtes lassés de toujours entendre les mêmes affirmations sexistes, sans avoir les armes pour contre-argumenter, le CEMÉA Belgique a créé pour vous le "Guide de survie en milieu sexiste".
https://framapiaf.org/@Marie_France_Zicot/102293670783587026

16/06/2019 13:00 par Lucile Meunier
Le 21 mai dernier, le collectif Les Engraineuses organisait à Paris une soirée d'introduction à l'écoféminisme. À cette occasion, nous avons rencontré Myriam Bahaffou, chercheuse indépendante en philosophie et en études de genre. Elle nous explique pourquoi, selon elle, l'exploitation des femmes et des animaux sont profondément liées.

#MeToo a permis une libération de la parole sans précédent dans le domaine de la séduction. Voici 5 pistes pour penser une drague féministe.

"Dès qu’on demande que les privilèges de quelques-uns deviennent les droits de tous, on parle de politiquement correct."

Women are increasingly playing the role of best friend, lover, and on-call therapist to their male partners.

traduction ici : x

L’UNESCO s’alarme de la prolifération d’assistants vocaux ayant une voix féminine, une personnalité docile et une façon de « flirter » face aux provocations.
j'ai appri qu'il existait une voix sans genre pour assistant vocaux.
https://invidio.us/watch?v=lvv6zYOQqm0

Agathe Charnet et Inès Coville — 10 mai 2019 à 10h04 — mis à jour le 11 mai 2019 à 12h56

"Quand un homme insiste, n'ayons pas peur de l'éconduire."

Je me suis beaucoup reconnue dans cet article, et ça décrit précisément les agressions sexuelles que j'ai subi
(je sais pas trop si [je peux/j'ai envie de/je dois/je me sens de] dire viol)

Christine Laemmel — 22 mars 2018 à 8h55 — mis à jour le 20 avril 2018 à 16h23
*Militantes et militants.

Julien Lausson - 12 février 2018

Une étude d'une scientifique du MIT montre un défaut d'entraînement concernant les algorithmes impliqués dans la reconnaissance faciale. Les lots de photos utilisés sont trop souvent basés sur des hommes blancs, entraînant des biais évidents.

Lili Loofbourow January 25, 2018

Peggy Sastre vient prendre la défense de l’essayiste amateur, défense que nous vous proposons d’analyser. J’ai mis trois jours à écrire ce texte, qui est beaucoup, beaucoup plus long que l’article original de Sastre, mais, comme beaucoup de discours manipulatoires, il faut plus de temps pour les réfuter que pour les écrire.

Par Titiou Lecoq — 8 janvier 2018 à 20:22

excellent blog

C’est une réalité pour les femmes que d’avoir à composer sans cesse avec le sexe forcé au cours d’une vie normale. Le sexe imposé, habituellement le coït, est un enjeu central dans la vie de chaque femme. Elle doit s’y plaire ou le contrôler ou le manipuler ou y résister ou l’éviter ; elle doit développer une relation au sexe imposé, à l’insistance masculine sur le coït. Les femmes vivent dans un contexte de sexe forcé. C’est la réalité, par-delà toute interprétation subjective.
Andrea Dworkin.

Au seum, on est une petite poignée à regarder la série The Handmaid’s Tale (et oui on se divertit entre deux productions de stats et trois débats internes sur le féminisme des tongs)

Excelent article

Pour faire enfin changer la honte de camp, les victimes n'hésitent plus à exposer en ligne les auteurs de violences sexistes et sexuelles.