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On a typical day, men spend a third as much time cleaning as women.
Does that make women beacons of cleanliness, while men are genetically unable to see the messiness in their midst?
This myth is a common explanation for why men don’t do as much housework as women. Men walk into a room and apparently can’t see the dust bunnies gathering on the floor or the piles of laundry stacked up on the couch.
It lets men off the hook for not doing their fair share of the household cleaning.
But in a recent study we show that men aren’t dirt-blind – they can see mess just as well as women. They are simply less severely penalized for not keeping their spaces neat and tidy.
Les femmes ne représentent que 12% des effectifs des écoles d’ingénieur en informatique en moyenne en France, 10% à l’Université, 8% en BTS et DUT. Elles n’occupent que 15% des emplois techniques, ne sont que 11% dans la cybersécurité, 9% à la tête de start-up.* On pourrait continuer encore longtemps cette litanie faisant état d’une écrasante supériorité masculine dans le monde informatique. Et cela ne surprendrait personne, parce qu’il est communément accepté que les métiers du numérique attirent moins les femmes. Le résultat de leur « absence d’ambition » ou de leur tendance à « s’autocensurer », a-t-on coutume de dire.
Ancienne informaticienne et chercheuse en sciences de l’éducation à l’Université de Genève, Isabelle Collet rejette ces poncifs. Dans son stimulant livre « Les oubliées du numérique », elle rappelle que la situation n’a pas toujours été aussi contrastée. Et que ce ne sont pas les femmes qui s’autocensurent, mais la société qui les convainc que l’informatique ne leur serait pas destiné. Interview.
L'hymen et la virginité, cet énorme mensonge auquel tout le monde croit, et qui ne sert qu'à assoire la domination des hommes.
Psychologue en maternité et en cabinet, mon parcours clinique m’a conduite, il y a dix ans, à engager une recherche doctorale alimentée par une perplexité profonde devant la redondance des violences relatées par les femmes rencontrées dans ces différents cadres. Un phénomène d’une ampleur sans précédent mit en avant dans un rapport du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes de 2018, mais qui demeure difficile à chiffrer.
Par Diane Garnault, Chercheuse associée, Université Paris Diderot
Sur Internet et les réseaux sociaux, divers sites et hashtag agrègent les témoignages dénonçant les conditions dans lesquelles les femmes accouchent : empreintes d’archaïsme, voire de sexisme, insuffisamment protectrices de leur confort physique et psychologique, négligeant leur intimité ou pire, leur consentement… La polémique sur ces violences obstétricales (et gynécologiques) enfle depuis plusieurs années, largement relayée dans les médias.
En Chine, la politique de l'enfant unique a vu émerger une catégorie de femmes très diplômées. Aujourd'hui, elles sont tiraillées entre leur désir de carrière et la pression sociale qui les pousse à se marier.
Sorcière et Internet. A priori, deux concepts que tout oppose. D’un côté, l’imaginaire d’une figure féminine mystérieuse, indépendante, évoquant un lointain passé. De l’autre, le réseau mondial qui connecte les individus, support hégémonique des activités de notre temps. Et pourtant, dans le sillage du féminisme pop et des pratiques numériques communautaires, ces deux univers se retrouvent intimement liés.
Le « mansplaining » survient lorsqu'un homme (« man ») explique (« explain ») à une femme quelque chose qu'elle sait déjà, sur un ton généralement paternaliste ou condescendant. Même si cette dernière n'a rien demandé, et qu'il s'agit souvent de son domaine d'expertise et pas du tout de celui de l'homme. Idem lorsqu'une femme tente de raconter une expérience signifiante, et qu'un homme renchérit.
traduction de l'article écrit en anglais par Melanie Hamlett le 2 mai 2019 et est disponible sur Harper’s Bazaar
trouvable ici : x
La masculinité toxique – et l’idée persistante que les sentiments sont une « chose féminine » – a laissé une génération d’hommes hétéros coincés sur une île émotionnellement retardée, incapables d’établir des relations intimes avec d’autres hommes. Ce sont les femmes qui en paient le prix.
Women's hormonal cycles may not only make them more prone to drug addiction but also more affected by triggers that lead to relapse, a new Vanderbilt University study revealed. The findings are especially significant since there are virtually no addiction studies in women that account for these cycles.
from https://biscuit.town/@Sapphaos/102525359649079843
pas nouveau, mais très utile
Yo les mecs (ou pas) qui veulent s’intéresser au féminisme, voici des liens:
– https://cafaitgenre.org/2013/03/16/sexisme-chez-les-geeks-pourquoi-notre-communaute-est-malade-et-comment-y-remedier/
– http://lmsi.net/La-repartition-des-taches-entre
– http://lmsi.net/Nous-sommes-les-100
– http://www.crepegeorgette.com/2017/10/23/actrices-mort/
– http://www.crepegeorgette.com/2017/01/18/chambre-soi/
– http://www.crepegeorgette.com/2017/10/17/violences-sexuelles/
– https://www.huffingtonpost.fr/2015/10/31/video-actrice-saoule-harcelement-sexuel_n_8440910.html
– https://payetashnek.tumblr.com/
– https://emmaclit.com/2017/05/09/repartition-des-taches-hommes-femmes/
– https://geekfeminism.wikia.org/wiki/Geek_Feminism_Wiki
– https://finallyfeminism101.wordpress.com/the-faqs/faq-roundup/
Ça devrait vous suffir pour trouver d’autres ressources si jamais ça ne vous suffit pas.
https://eldritch.cafe/@melunaka/102434095635400054
Après Anaïs Bourdet, la créatrice du Tumblr Paye ta schnek, c'est au tour de l'association Féministes contre le cyberharcèlement d'annoncer qu'elle doit restreindre ses activités. Le manque de moyens et l'épuisement sont venus à bout de ces cybermiltantes qui luttent contre les violences faites aux femmes.
from https://social.atypique.net/@quota_atypique/102423418272116055
From Numerama
Après un crowdfunding remarqué, le site Pussypedia a enfin été mis en ligne. Comme ses créatrices l'avaient annoncé, cette « encyclopédie de la chatte » contient une représentation interactive des organes génitaux ainsi que des articles pour s'informer.
From Les Glorieuses
Saison IV- N°40 - Soyons fières
Pussypedia, « l’encyclopédie de la chatte », est enfin en ligne.
"Il a tout suturé à vif, ç'a duré quarante-cinq minutes." "Je n’étais plus dans un accouchement, c’était une scène de massacre." "On préférerait mourir plutôt que de sentir ça"… S'ils sont glaçants (et bouleversants), les témoignages réunis dans ce documentaire montrent aussi la volonté des femmes de rendre publiques les maltraitances subies durant l'accouchement, longtemps tues. En France comme dans le reste de l’Europe, leurs voix s’élèvent pour les dénoncer, amplifiées par les réseaux sociaux et une forte mobilisation militante. Également victime de violences obstétricales, la secrétaire d'État chargée de l'égalité entre les hommes et les femmes, Marlène Schiappa, interviewée dans ce film, a jeté un pavé dans la mare, en commandant un rapport sur le sujet.
Violence systémique
Épisiotomie imposée, césarienne à vif, infantilisation, remarques sexistes... : ces violences bafouent une notion fondamentale : le consentement des femmes. Nombre d'entre elles assimilent alors ce qu'elles ont vécu à un viol. La réalisatrice féministe Ovidie (Là où les putains n'existent pas) analyse la situation sans manichéisme, en interrogeant tous les acteurs concernés : des victimes, des militantes, des experts, des sages-femmes mais aussi des gynécologues qui dénoncent le manque cruel de moyens du système de santé publique. Son enquête rigoureuse explore également l’histoire pour comprendre la source de cette violence systémique, et rappeler, avec des expériences passées ou présentes (l'accouchement sans douleur, la naissance à domicile) qu'un autre modèle, moins médicalisé, peut constituer une solution.
https://mastodon.parleur.net/@parleur/102364316667049634
Je fais partie des femmes qui considèrent qu’un homme, profitant au sein de la société, qu’il le veuille ou non, de privilèges provenant de l’exploitation quotidienne des femmes, ne peut pas se revendiquer féministe. Mais cela ne signifie pas que les hommes n’ont pas un rôle à jouer, au contraire. Et c’est pour ça qu’aujourd’hui j’ai envie de vous parler des alliés du féminisme. Car encore faut-il savoir ce que l’on entend par « allié » et ce que l’on attend d’un allié. Voici donc une liste de points qui me paraissent essentiels.
Le violentomètre, c'est le nom d'un outil permettant d'identifier les violences dans le couple, qui s'installent de façon graduelle. L'idée est d'agir avant qu'il ne soit trop tard.
Allez lire les parties 1 et 2
"je raconte comment j’ai réalisé que mes réflexes de défense m’empêchent d’écouter, et par conséquent de comprendre, quand une femme me parle de sexisme."
Trois femmes se confient au sujet de leurs poils, un sujet pas si intime que ça puisque l'injonction à s'épiler fait de la pilosité féminine un thème... politique !
https://soundcloud.com/user-810880663/doux-ennemis-jade-debeugny
https://mastodon.social/@Siegi/102328641167380728