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On a typical day, men spend a third as much time cleaning as women.
Does that make women beacons of cleanliness, while men are genetically unable to see the messiness in their midst?
This myth is a common explanation for why men don’t do as much housework as women. Men walk into a room and apparently can’t see the dust bunnies gathering on the floor or the piles of laundry stacked up on the couch.
It lets men off the hook for not doing their fair share of the household cleaning.
But in a recent study we show that men aren’t dirt-blind – they can see mess just as well as women. They are simply less severely penalized for not keeping their spaces neat and tidy.
Psychologue en maternité et en cabinet, mon parcours clinique m’a conduite, il y a dix ans, à engager une recherche doctorale alimentée par une perplexité profonde devant la redondance des violences relatées par les femmes rencontrées dans ces différents cadres. Un phénomène d’une ampleur sans précédent mit en avant dans un rapport du Haut Conseil à l’Égalité entre les femmes et les hommes de 2018, mais qui demeure difficile à chiffrer.
Par Diane Garnault, Chercheuse associée, Université Paris Diderot
Sur Internet et les réseaux sociaux, divers sites et hashtag agrègent les témoignages dénonçant les conditions dans lesquelles les femmes accouchent : empreintes d’archaïsme, voire de sexisme, insuffisamment protectrices de leur confort physique et psychologique, négligeant leur intimité ou pire, leur consentement… La polémique sur ces violences obstétricales (et gynécologiques) enfle depuis plusieurs années, largement relayée dans les médias.